Transfer de "Justice pour les étudiants" de mon blogue Foi Église Religion en date du 6/15/12

http://divinchrist.blogspot.ca/2012/06/justice-pour-les-etudiants.html

On ne croie plus en Dieu et on crie à l’injustice. C’est en somme pour moi ce qui reflète de la crise étudiante, où les droits à la scolarité sont les plus accessibles en Amérique de nord. Ma propre désobéissance affirme que je ne connais pas le Seigneur Jésus, le fils du Père créateur du ciel et de la terre. On peu comprendre le sacrifice que le Père a ressenti par les souffrances de son fils unique Jésus qui nous a donné la grâce de l’adoption.

Je ne connais pas Jésus car si je le connaissais je suivrais ses commandements à la lettre; au lieu de ça je perds patience, je m’enivre, et je ne compte plus toutes mes fautes et cauchemars. Si je connaissais Jésus, je me sentirais beaucoup mieux.

Je suis seul sans vrai compassion immédiate et tangible autour de moi, mais je remarque, qu’en général,  que les autres parlent de tout sauf de Dieu. Le fait que je cherche le seigneur, un réconfort de grâce me rend possiblement moins seul que la plupart.

Je reviens aux événements d’actualité qui brasse le Québec. Après un refus de condamné la désobéissance civile, les étudiants ont intégré dans leur manifestation ce qu’on appel des casseurs, à possiblement mille pour un, au lieu de les capturé, ils les ont protégés. Les étudiants se sont ensuite moqués des injonctions où ils devaient donner accès aux étudiants intéressés de suivre leurs cours.

L’anarchie est ce qui a été prôné.  Comme il me semble facile d’influencer ceux qui ne pense qu’à chialer, n’est ce pas ce que font les adolescents qui veulent se rebeller pour possiblement s’identifier.

Ils sont mûr pour l’action on a du se dire. Et comment expliquer l’opposition à l’assembler national qui était d’accord pour l’augmentation des frais de scolarité mais qui a aussitôt arborer les couleurs des étudiants qui sont contre cette même augmentation?  N’est-ce pas là un fondement anarchique?

J’exagère un peu ici en disant qu’il me semble maintenant constater que ce sont ceux qui ne savent pas pardonner qui possède la rue, ceux qui n’on probablement pas voter ou qui ont perdu leur dernière élection, ceux qui crient aujourd’hui qu’il y a une dictature. Même si ce gouvernement dépasse certaines bornes comme d’avoir voulu ignorer le BAPE pour favoriser l’exploitation de gaz de schiste, il demeure élu, et les vraies raisons du mécontentement doivent être identifiées. Je trouve invraisemblable la désobligeance des étudiants et de certains groupes de citoyens envers la population et les commerces du centre ville de Montréal.

On peu parler d’un réveil de conscience du fait de vouloir s’affirmer, mais où est la vérité? Et que dire de la cause, cette cause de justice? Il s’agit de l’accessibilité à l’étude supérieure. Il est donc question de favoriser les moins nanti. Je comprends qu’il peut être décourageant pour celui qui n’a jamais connu des rentrées de fonds de s’endetter même si  l’emprunt pour l’étudiant est très accessible et comprend un mode de remboursement favorable, tout peu dépasser l’entendement des parents et des enfants qui n’on connu que la pauvreté. S’ils ne sont pas aptes à recevoir une bourse, la possibilité de suivre des études avancées doit demeurer.

Il y a des garderies à $7 et des congés parentaux pour les deux époux. C’est opportunités comme d’autres existent pour construire une société plus aimante, affectionnant les enfants du  meilleur entourage pour qu’ils deviennent de meilleurs citoyens.

Il faut donc donner la chance à ceux qui le demandent, mais il ne faut pas donner le chemin facilement, ainsi les bourses sont disponible pour ceux qui ont le mérite académique présentant des bonne notes. Les riches ont évidemment l’accès aux études mais doivent les réussir pour être reconnus. Le pauvre peu être accablé pour différente raison, ce qui se reflète à l’école, mais peu aussi se découvrir une productivité académique en temps et lieu, et doit donc en avoir une meilleur chance.

On est dans un pays libre et tous le monde est libre, mais pourquoi n’y aurait-il pas un système de charité? Si quelqu’un n’a pas les notes lui permettant d’avoir une bourse d’étude, comme d’autres qui auraient besoin d’un surplus, il pourrait y avoir une bourse de charité aux études. Un compte en fiducie où même une organisation d’étudiant choisirait les récipiendaires. Le gouvernement pourrait même bonifier indirectement ce compte par un apport fiscal favorable aux donneurs. On peu donc envisager une gratuité qui pourrait voir naître une scolarisation fleurissante de haut niveau.

Libre mais avec des exigences seraient un système semblable où le gouvernement financerait tout mais à l’opposé de l’emprunt, une obligation de servir serait de mise, c'est-à-dire : Si quelqu’un n’a pas les notes suffisante pour avoir une bourse ou si quelqu’un a besoin d’un surplus, il pourrait avoir une bourse de charité où par la suit une obligation de servir serait soumis avec un choix. Je ne développe pas ici ce propos mais on peu penser à ce qui suit : L’obligation de tous remettre et avec intérêt s’il va travailler à l’étranger, mais pourrait même être exonéré si celui si fait parti des meilleurs gradués pour raison qu’il serait un ambassadeur d’un système favorable. Une autre obligation pourrait être celle de travailler un certain nombre d’années où le besoin se fait sentir dans certaines régions du Québec  etc. Il y a surement plusieurs paramètre à développer pour rendre la chose intéressante.

Les étudiants ont parlé de taxer ou d’imposer les banques, mais pourquoi pas? Il s’agit en sommes d’une augmentation d’impôt pour les riches, mais pourquoi pas? Sauf que rien n’empêche les riches de déménager. Mais comment expliquer les abris fiscaux? Je ne le sais pas. Mais pourquoi n’avons-nous pas plus d’explication du phénomène, pourquoi est-ce créé et toléré?  Je ne le sais pas. À la crise de 2008 la caisse de dépôt a perdu plus de 45 milliards de dollars et bien des caisses de retraite à la grandeur du Canada on fait des pertes  comparables. Il faut se rappelé que les banques canadienne on mieux surmonté la crise que bien d’autres, je crois que c’est à cause d’une réglementation plus sévère, mais qu’importe, il faut tout de même avoir plus d’information avant de se prononcer sur ce qu’on ne connaît pas.

En 2008 après avoir perdu plus de 45 milliards de dollar, on a tenté de trouver les responsables, mais le phénomène était planétaire. Par contre il y a eu beaucoup d’information à ce sujet mais l’enquête québécoise mise en place a été coupé cour. On aurait pu étirer largement les propos sans nécessairement faire une chasse aux sorcières, même si je me rappel que Charest avait pas longtemps  auparavant dérèglementé ou plutôt changé l’orientation de la caisse de dépôt pour investir dans les placements à plus haut risque. Il a paru à la télévision pour dire cela et les journaux monopolisés n’ont pas fait suite… 100 millions d’investissement pour bien informer sur ce propos représente un 450 ième  de 45 milliards déjà perdus, ce qui me semble aurait été un bon investissement.

L’information est pour moi une forme de charité, et le peuple doit l’exigé. Tout peut être résolu, il s’agit seulement d’avoir la charité. Si les premiers apôtres ont tous mis en commun, il me semble que la paix doit aussi exister au sein de la société en général et cela c’est aussi une preuve d’amour, et qui connaît vraiment l’amour connaît Dieu.

L’ancien testament raconte plusieurs victoires où la foi soulage. Du Dieu jaloux de l’ancien testament qui a banni Moloch et ses atrocités, nous est parvenu le nouveau testament où un seul sacrifice sauve l’humanité.

Traduction Louis Segond : 17:5 Ainsi parle l'Éternel : Maudit soit l'homme qui se confie dans l'homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son coeur de l'Éternel ! 17:6 Il est comme un misérable dans le désert, Et il ne voit point arriver le bonheur ; Il habite les lieux brûlés du désert, Une terre salée et sans habitants. 17:7 Béni soit l'homme qui se confie dans l'Éternel, Et dont l'Éternel est l'espérance ! 17:8 Il est comme un arbre planté près des eaux, Et qui étend ses racines vers le courant ; Il n'aperçoit point la chaleur quand elle vient, Et son feuillage reste vert ; Dans l'année de la sécheresse, il n'a point de crainte, Et il ne cesse de porter du fruit. 17:9 Le coeur est tortueux par-dessus tout, et il est méchant : Qui peut le connaître ? 17:10 Moi, l'Éternel, j'éprouve le coeur, je sonde les reins, Pour rendre à chacun selon ses voies, Selon le fruit de ses oeuvres.

Outre Le socialisme et le capitalisme, il y a la charité et la prospérité de l’âme, la vérité.

Que la grâce du Seigneur Jésus soit avec tous!